Je conserve des camarades de la Danjou que j’ai croisés en prépa à Toulon, puis à Coëtquidan et par la suite dans l’infanterie de marine, un souvenir que rien ne saurait effacer.
Avec Didier Mochel, malgré sa Porsche 911-S, nous sommes arrivés en civil à Coët à l’heure du premier rassemblement des écoles où, si je ne me trompe, une tenue militaire était exigée. Ce qui m’a valu une grande bosse d’entrée de jeu, ma première "semaine" et tout un tas de petites tracasseries bien innocentes de la part de la strasse (orthographe incertaine).
Amis noctambules, vous souvenez-vous de cette nuit où le lieutenant Garrot (*) est venu nous "extraire" du bâtiment Bouvine où logeaient nos fiancées ?
Amitié indéfectible à tous nos frères de sang de la Danjou de la part de ceux de la Marceau.
(*) Le lieutenant Garrot était l’un des deux survivants, avec le capitaine de Montlebert, du crash de l’ETAP en 1971.
Je conserve des camarades de la Danjou que j’ai croisés en prépa à Toulon, puis à Coëtquidan et par la suite dans l’infanterie de marine, un souvenir que rien ne saurait effacer.
Avec Didier Mochel, malgré sa Porsche 911-S, nous sommes arrivés en civil à Coët à l’heure du premier rassemblement des écoles où, si je ne me trompe, une tenue militaire était exigée. Ce qui m’a valu une grande bosse d’entrée de jeu, ma première "semaine" et tout un tas de petites tracasseries bien innocentes de la part de la strasse (orthographe incertaine).
Amis noctambules, vous souvenez-vous de cette nuit où le lieutenant Garrot (*) est venu nous "extraire" du bâtiment Bouvine où logeaient nos fiancées ?
Amitié indéfectible à tous nos frères de sang de la Danjou de la part de ceux de la Marceau.
(*) Le lieutenant Garrot était l’un des deux survivants, avec le capitaine de Montlebert, du crash de l’ETAP en 1971.